Hormis son goût prononcé pour la peinture, Lutin qui œuvre dans le courant surréaliste sans doute influencé par le catalan Miró depuis que la reproduction « Les échelles en roue de feu traversent l’azur » orne sa chambre, n’est pas ce que j’appellerais un grand adepte des arts plastiques. En revanche, mon bébé peintre est un gros farceur toujours plein d’entrain lorsqu’il s’agit de taquiner son petit monde. J’ai donc sauté sur l’occasion du 1er avril pour lui proposer de fabriquer un joli poisson d’avril à coller sur le dos de son papa. [Lire la suite…]