Quand maman raconte son lutin en sucre et ses envies d'évasion
Le bac sensoriel est à l’éveil du jeune enfant ce qu’est le vibromachin à la veuve de guerre : une sorte de Rolls-Royce à l’esprit montessorien (ne jamais oublier de citer Maria, l’atout vendeur du jeu bobo) pour petits explorateurs en herbe prêts à manipuler, toucher et sentir les matières pour stimuler sensations et émotions. [Lire la suite…]
Je n’aime pas la fête d’Halloween mais parce que je suis une blogueuse opportuniste pour faire plaisir à Lutin, j’ai profité de la foire actuelle aux sorcières et autres horreurs de pacotille pour lui proposer de mettre en cage toute une colonie de monstres rigolos en utilisant la technique du pouring. J’espère juste que Pollock ne se retournera pas dans sa tombe en voyant le résultat. [Lire la suite…]
Les amis, voilà que je me prends pour une blogueuse déco version DIY depuis que ma maman m’a prêté son pistolet à colle que j’oublie systématiquement de rendre (tant pis pour elle, faut jamais confier ses biens aux amnésiques). Tel un sniper, je teste avec plus ou moins de succès cette arme à glue sur tous les supports – papier, céramique, bois, tissu ou enfant – au gré de mes envies créatives. Dernièrement, ce sont les jolies couleurs enflammées de l’automne qui m’ont inspiré un petit DIY saisonnier pour décorer la chambre d’un Lutin fasciné par les habitants de la forêt (même les limaces c’est dire) et le cycle des saisons. Contrairement au précédent tableau qui célébrait l’arrivée du printemps (ici), mon petit garçon n’a pas participé à la conception de cette fresque (n’ayons pas peur des mots) automnale, si ce n’est en gambadant bruyamment joyeusement dans la forêt à la recherche des petits trésors soldés par Dame Nature avant la trêve hivernale. [Lire la suite…]
Avant que la nature ne s’assoupisse, engourdie sous la neige et les gelées cristallines, nous nous sommes promenés encore un peu au cœur des couleurs chatoyantes de l’automne, Lutin virevoltant au milieu des feuilles enflammées craquant sous ses pieds. Les quelques petits trésors confisqués à Dame Nature au détour d’une mignonne forêt ont titillé la fibre artistique de mon petit garçon qui m’a réclamé un « grand » bricolage d’automne. Nous avons donc réalisé des arbres prêts à hiberner dans une création plus complexe qu’elle n’y paraît puisqu’elle fait appel à plusieurs techniques créatives. [Lire la suite…]
Saviez-vous que l’origine du premier risotto – également appelé riso giallo alla milanese (riz jaune à la mode milanaise) – cuisiné à base de safran remonte au moyen âge, en Sicile, là où se croisaient les marchands juifs des routes maritimes des épices ? Ceci dit, le risotto est, depuis le 16ème siècle, un primo piatto nourrissant tantôt rustique, tantôt raffiné, très ancré dans le nord de l’Italie, entre Lombardie et Piémont où jaillissent des rizières produisant des variétés de riz d’excellente qualité. La cuisson lente du risotto permet au riz italien de relâcher sa forte concentration en amidon et d’absorber les saveurs, conférant au plat une texture crémeuse et onctueuse unique.
L’un des risotti les plus populaires en Italie est celui ai funghi porcini (aux cèpes). Idéal en automne pour savourer toute la fraîcheur de ces champignons fraîchement cueillis, on peut néanmoins le déguster toute l’année en comptant sur les cèpes séchées ou surgelées. Pas étonnant donc qu’on ait envie de l’offrir en kit, pour un cadeau culinaires « vite fait bien fait » dans l’air du temps. Un risotto pronto en bocal, c’est décoratif dans une cuisine, c’est pratique à sortir lors d’un dîner improvisé ou quand les placards sont presque vides mais encore faut-il que la préparation soit digne de la tradition italienne pour conserver les qualités gustatives de ce plat si savoureux. [Lire la suite…]
