Je suis née termite. Une termite sensorielle, dévoreuse de papier quand la beauté des mots croise la douceur d’une couverture froissée par la force d’une histoire captivante. Et puis un jour, je suis passée du côté obscur de la force littéraire en conviant une liseuse numérique sur ma table de chevet. C’était il y a vingt-deux mois, ce qui me donne suffisamment de recul pour vous raconter comment le livre 2.0 m’a séduite puis fidélisée malgré ses vilains défauts.
Jamais sans un livre !
J’ai (presque) toujours pensé qu’un livre, objet émotionnel et social à la fois, doit naturellement trouver sa place dans la bibliothèque du salon, ce meuble convivial qui attise la curiosité et stimule les échanges. Dans la réalité, mes beaux livres décorent le salon mais les poches, utilitaires, cabossés, pas terribles, toute la bande des très biens mais trop nombreux et 50 nuances de Grey sont confinés dans la bibliothèque de mon bureau, laquelle menace de s’écrouler sous son fardeau littéraire.
Car oui messieurs-dames, il y a beaucoup de livres chez moi, j’arrose copieusement les maisons d’éditions et pas qu’avec des ouvrages sur la sorcière Cornebidouille ou Ernest et Célestine, même si mon blog Life Style (c’est plus joli que bordélique vous en conviendrez) préfère s’épancher sur les dernières excentricités d’un Lutin très prolixe en la matière plutôt que sur la critique littéraire que d’autres blogueurs maîtrisent à la perfection comme Elodie du blog Au Chapitre, véritable mine d’inspiration pour alimenter ma bibliothèque (en plus j’adore la jolie mise en scène de ses lectures sur Instagram, quoi qu’elle en dise).
Et puis un jour, le livre numérique…
Il y a encore deux ans, je vous aurais raconté mon plaisir à palper le livre-objet, à tourner les pages en créant cette musicalité unique accompagnée d’une petite brise légère qui marque de façon agréable la progression dans l’histoire, à respirer son odeur, son odeur de vieux parfois, à voir ses pages jaunir avec la maturité, à contempler sa couverture abîmée, preuve que je suis une souillon qu’il m’a divertie, même en vadrouille.
Mais si le roman est un compagnon d’aventures hors du commun, il dérange parfois le voisinage. J’accuse ainsi Chéri Chéri de m’avoir précipitée vers les méandres du numérique pour cause de nuisances nocturnes quand le bruissement des pages et de la lumière, même de poche, perturbaient son sommeil trop léger (sauf quand il s’agit de répondre aux doléances nocturnes de notre mini-dictateur)(l’Homme est un mystère… Ou bien un fourbe).
Ma curiosité naturelle et mon côté Geek ont, je l’avoue, été titillés par la proposition de mon homme qui a l’art très persuasif : après tout, la liseuse est une tentation mais pas un renoncement définitif aux bons vieux livres…
Je me suis donc mise à la recherche d’une liseuse mais pas de n’importe laquelle, une liseuse de compétition, sans réminiscences, utilisable même en plein soleil, une liseuse autonome et légère parce que je savais que si ses performances n’étaient pas à la hauteur de mes espérances, je la laisserais choir dans un coin. De blogs spécialisés en sites high-tech comme Les Numériques, j’ai analysé le marché des liseuses au banc d’essais et je suis arrivée à la conclusion que celle que je voulais, c’était la Kindle Voyage de chez Amazon ou rien… Et pendant presque un an, ce fût rien. Je fulminais parce que l’objet convoité n’était pas encore disponible sur le marché français bien qu’il pullule chez nos voisins allemands ou britanniques. Maugréant contre le géant américain, j’ai attendu jusqu’à ce que je la trouve au pied du sapin de noël 2015, toute belle, parée d’une jolie couverture rose pour la petite touche girly qui la rend mienne.
Goûter à la lecture numérique, c’est l’adopter !
Une prise en main surprenante
Première bonne surprise lorsque j’ai déballé ma liseuse, son poids plume de 180g ! Certes, je connaissais ses caractéristiques techniques mais je n’en avais pas la perception physique. En gros, 200g c’est le poids d’un livre de poche de 300 pages (ce n’est pas moi qui le dit, c’est La Poste quand elle daigne distribuer le courrier plutôt que de faire grève jouer aux banquiers)… Si j’avais eu le bonheur de lire Les piliers de la terre de Ken Follet sous liseuse, je n’aurais donc pas risqué une luxation des membres supérieurs à chaque fin de chapitre… Et puis les livres qui pèsent un âne mort dans le sac à main sur le trajet du métro, mon quotidien donc pendant mes années parisiennes, j’en avais ma claque ! 180g de bibliothèque numérique et terminés les choix cornéliens pour limiter le nombre de pavés qui vous plomberont la valise au détriment de vos sextoys favoris : 180g c’est la promesse d’un voyage aussi léger que torride (sauf si vous embarquez avec vos Lutins)(je ne peux rien pour vous si vous n’y mettez pas du vôtre).
Mais le confort de lecture ne se limite pas qu’au poids et c’est là tout le génie du numérique. Car ma liseuse est un puissant appel à la paresse : il suffit d’une légère caresse de l’index sur l’écran tactile (ou d’appuyer sur le PagePress sur le côté de la liseuse) et les pages se tournent sans effort pour se figer jusqu’au prochain mot d’ordre : plus de crampes de la main pour tenir son livre en évitant de perdre sa page, plus de pages collées, plus de brassage d’air superflu lorsque l’on est emmitouflé sous la couette. La liseuse a le don de vous rendre léthargique tant les mouvements qui prolongent la lecture sont imperceptibles. Voilà qui ouvre le champs des possibles pour qui préfère lire d’une seule main dans des positions improbables.
Un confort de lecture inégalé
Ceci dit, poids plume et maniabilité ne servent à rien si la qualité de l’écran n’offre pas un confort visuel au moins égal à celui des livres papiers. Et là me voilà rassurée, la lecture sur liseuse numérique n’a rien à voir avec celle éprouvée sur une tablette tactile, un ordinateur ou un smartphone rétro-éclairés, lesquels sont illisibles en plein soleil et provoqueraient à la longue une sensation de fatigue oculaire.
Parce que la plupart des liseuses comme la mienne sont construites sur le principe de la technologie e-ink, une sorte d’encre magnétique (en gros la même technologie que les ardoises magiques ou l’antique télécran de notre enfance), elles imitent l’écriture papier et reflètent la lumière naturelle, ce qui permet de lire en plein soleil. Si vous voulez tout savoir sur l’encre électronique, je vous renvoie vers ce blogueur scientifique qui vous expliquera comment ça fonctionne (moi je suis plutôt spécialisée dans le décryptage du Lutin de moins de 20 kg).
Mais c’est à la lueur de la lune que la liseuse électronique révèle tout son potentiel : fini le diktat de la lumière car je peux désormais bouquiner au beau milieu de la nuit sans risquer de réveiller l’ours potentiellement courroucé qui pique toute la couette somnole à mes côtés. Heureuse propriétaire d’une liseuse rétro-éclairée, je peux même lire dans le jardin les soirs d’été sans risquer d’attirer à coups de lampions toute une bande de moustiques sanguinaires, n’est-ce pas merveilleux ? Et une fois de plus, ce rétro-éclairage n’a rien à voir avec celui d’une tablette ou d’un téléphone : non seulement je peux me payer le luxe de moduler son intensité mais en plus, mieux que la mouche tsé-tsé, ce doux halo lumineux rien que sur les mots est un appel irrésistible à l’assoupissement…
Enfin les seniors de plus de 40 ans (pas la peine de prendre cet air mauvais, je ne vous vois pas) apprécieront la personnalisation de l’écran qui permet de jouer sur la police, la taille des caractères ou les interlignes pour augmenter le confort de lecture.
Les joies de la lecture interactive
Le livre numérique compense son côté dématérialisé par une mine de petits avantages tellement commodes qu’ils ont changé ma façon de vivre mes instants de lecture.
En tête de liste, je pense au rapport imbattable « temps de lecture – volume de la bibliothèque » que je viens d’évoquer parce que je commence à radoter. Tenir des centaines de livres dans une seule main pour partir en vacances bien achalandée (et ne pas se retrouver, faute de mieux, à sombrer dans Sex in the Kitchen, seul livre abandonné sur la plage par un touriste anonyme qui n’a pas assumé sont côté olé olé), passer d’un livre à un autre en un simple glissement de l’index, empiler les livres sans alourdir la bibliothèque, autant d’arguments qui, s’ils n’ont pas été déclencheurs pour moi de l’acquisition d’une liseuse, se révèlent bien pratiques à l’usage.
La liseuse c’est donc l’art d’éviter les frustrations : imaginez-vous bien emmitouflé(e) sous votre couette au fond du lit, en train de terminer L’amie prodigieuse d’Elena Ferrante. Un mariage napolitain et un esclandre plus loin, vous vous apercevez que de fin justement, il n’y en a pas parce qu’il s’agit seulement du premier tome d’une longue saga. Le drame, quoi… Sauf quand on a une liseuse : plus besoin quitter votre pilou pilou, la suite du bouquin s’affichera de manière quasi instantanée si l’envie vous prend !
J’allais oublier l’une des fonctionnalités que j’utilise le plus sur ma liseuse : le partage des critiques et suggestions de lecture. J’entends parler d’un livre qui m’a l’air sympa, je le note et le retrouve en quelques clics sur ma liseuse. Et avant de le télécharger, je peux lire toutes les critiques littéraires laissées par d’autres lecteurs de la communauté (et ils sont nombreux sur Amazon ceux qui aiment donner leur avis).
Enfin, il y a dans ma liseuse tout un tas de petites geekeries :
– qui parfois relèvent du gadget comme la possibilité de surligner des passages ou de prendre des notes,
– qui peuvent se révéler très utiles comme la définition en un clic d’un mot savant (hashtag je-suis-inculte) ou la traduction en deux clics en français d’un mot étranger ou vice-versa (hashtag mais-je-suis-trilingue),
– qui remplacent le bon vieux marque-pages et permettent de connaître l’état d’avancée dans le livre : on ne parle plus du nombre de pages lues mais du pourcentage de lecture accomplie. Et puis l’application calcule mon temps personnalisé de lecture restant, basé sur la vitesse à laquelle j’avance : pour faire simple, quand je suis un boulet qui pique du nez sur son livre tous les soirs, l’appli va me considérer comme un apprenti-lecteur de CP qui mettra 55 heures à terminer sa lecture alors que le dynamique lecteur du métro ne mettra qu’une 1h30 à le terminer selon son appli personnelle. Bref, ça m’amuse même si ça ne sert pas à grand-chose…
Il y a aussi un semblant de navigateur web tout pourri mais vous vous doutez bien qu’à l’ère du 2.0, il vaut mieux éviter de fricoter avec lui plutôt que de s’égarer dans les tuyaux de ce consternant cousin de feu le Minitel (re-bonjour les seniors !).
Les bonnes et les mauvaises surprises de la liseuse numérique
Pour le meilleur…
L’une de mes plus grosses craintes lorsque je n’avais pas de liseuse était de tomber en panne de batterie en plein milieu d’un chapitre, plantée au milieu de nulle part sur la plage ou en plein vol… Une fin d’histoire momentanément inaccessible, la voilà la pire frustration du lecteur ! En réalité, ma liseuse s’avère à l’usage suffisamment autonome pour ne pas me causer ce coup de Trafalgar : je viens d’ailleurs de me rendre compte que je n’avais jamais calculé la fréquence à laquelle je la recharge, certainement parce que ce n’est finalement pas un problème… Je pense tenir 2 mois sans la recharger, et en tout cas plus d’un mois en période de lecture très intensive. Pour ne pas être prise au dépourvu, je la recharge toujours les veilles de départ en voyage (et au cas où, j’emmène mon chargeur). D’ailleurs le temps de charge est rapide, ce qui fait de la question d’énergie une problématique finalement assez anecdotique de mon point de vue.
J’appréhendais également de ne pas avoir suffisamment de choix parmi l’offre littéraire de la e-librairie. J’avais d’ailleurs lu tout un tas de critiques de ces lecteurs qui se plaignent de ne pas pouvoir acheter librement leur livres numériques chez la concurrence parce que les formats des fichiers sont incompatibles avec leur liseuse, sauf à faire sauter les e-verrous via des manipulations compliquées pour le commun des mortels. Amazon s’est même érigé en champion de la discipline, en créant son format propriétaire qui ne peut être lu que par ses liseuses Kindle. Mais pour tout vous dire, à l’usage encore une fois, rares sont les livres que je souhaitais lire et que j’ai achetés en librairie faute de les avoir trouvés sur ma kindle (il n’y en a que deux à ce jour : La voleuse de livres de Markus Zusak et La maison dans laquelle de Mariam Petrosyan). En revanche, grâce à ma liseuse, j’ai pu me procurer le quatrième tome en italien de L’amie prodigieuse qui n’avait pas encore été traduit en français et un tas de livres classiques gratuits ou à un prix dérisoire parce qu’ils étaient tombés dans le domaine public. Alors oui, je ne suis pas une patriote exemplaire en achetant ma lecture chez les Américains mais les prix des livres sont à peu près équivalents de partout et je trouve inutile de me compliquer la vie plus que de raison.
…Et pour le pire !
On en parle du budget frustrant ? Car j’ai beaucoup de mal à comprendre comment un livre de poche peut se retrouver bien souvent moins cher qu’un livre dématérialisé ! Déjà, quand un livre vient de sortir, la différence entre le prix d’un beau roman broché avec couverture en vernis sélectif et tout le tralala des maîtres graphistes et le prix d’un e-book, vague icône sur une liseuse, tient souvent dans un mouchoir de poche, de l’ordre de quelques euros à peine. Mais il y a comme de l’abus dans l’air quand je constate que le poche imprimé est moins cher que le livre dématérialisé pourtant démultipliable à l’infini.
Et c’est quand même ballot de ne pas pouvoir prêter son livre coup de cœur, celui-là même qu’on vient de terminer et qui nous a bouleversé mais qu’on ne peut pas faire tourner autour de nous sauf à prêter directement sa liseuse ! Mais qui prêtera son précieux engin (évitons à cet instant précis de penser à la recherche par mots clefs Google) aussi facilement qu’un simple livre classique sans encaisser au préalable un dépôt de garantie dissuasif, ne serait-ce que pour éviter les pertes de mémoires des conservateurs de lecture qui ne rendent jamais leurs livres. On peut donc qualifier les détenteurs de liseuses numériques d’égoïstes contre leur gré !
Mais le plus consternant reste la potentielle défaillance technique de la liseuse… Et quand elle arrive, croyez-moi, rares sont les cas où l’on peut espérer une résurrection de l’appareil. Si j’ai failli divorcer d’avec ma liseuse, c’est qu’elle m’a subitement lâchée par une nuit du printemps dernier. C’est arrivé comme ça, sans crier gare… Je l’allumais comme tous les soirs pour poursuivre ma lecture mais l’écran est resté figé sur la page d’accueil. Ma liseuse ne répondait plus, elle avait quitté ce monde au bout de 17 mois seulement alors même qu’elle n’avait pas subi de mauvais coups, de chute, d’exposition aux intempéries et que Lutin, seul être dans la maison susceptible de lui causer des séquelles irréversibles, reste toujours à distance respectable du précieux sous peine de grève potentielle du Père noël. Ma liseuse tombée en panne, je me tourne naturellement vers le service client d’Amazon qui m’apprend qu’après l’expiration de la garantie d’un an, elle est bonne pour la casse parce qu’un e-book, ça ne se répare pas : je n’ai plus qu’à en acheter une autre… La douche froide ! Mon sang a bouillonné face à mon interlocuteur : le moindre smartphone ou GPS se répare mais ma liseuse soi-disant de luxe, payée plus de 200 euros à l’époque et utilisée avec parcimonie pendant à peine plus d’un an est juste bonne à jeter à la poubelle ? Je suis un chat noir et je n’ai plus qu’à télécharger ma bibliothèque de e-bouquins sur mon téléphone ou ma tablette pour poursuivre ma lecture si je ne veux pas investir dans une autre liseuse… Ben voyons ! Si j’avais voulu lire sur I-pad je n’aurais justement pas eu besoin d’une liseuse, et encore moins à ce prix là ! Et puis bravo l’impact sur l’environnement ! Mon courroux a visiblement porté ses fruits puisqu’à « titre officiellement exceptionnel », Amazon m’a renvoyée une nouvelle liseuse sous garantie. Officieusement sachez chers lecteurs que pour être en conformité avec la législation française qui prévoit une garantie de deux ans, Amazon et ses semblables doivent réparer ou remplacer à l’identique toute liseuse de moins de deux ans en cas de défaillance technique. Mais seuls les bons râleurs au mauvais caractère obtiennent finalement réparation. L’avenir me dira si l’espérance de vie d’une liseuse vaut bien son investissement mais j’ose espérer que j’étais juste tombée sur le mauvais numéro.
Un dernier mot sur l’e-book…
Ces dernières récriminations à l’encontre de ma liseuse ne compensent pas tous les autres points positifs en sa faveur. Et même si flâner dans une librairie ou se faire dédicacer un joli livre reste un véritable plaisir qui fait je n’ai pas renoncé aux beaux ouvrages, je préfère lire sur ma liseuse. Avec elle, je perds l’odeur de l’encre et du papier mais je gagne tellement en confort de lecture que je n’arrive plus à apprécier le bon vieux livre papier comme auparavant. Mais je trouve dommage de devoir choisir un camp : j’ai une liseuse que j’aime d’amour mais ça ne m’empêche pas de continuer à lire parfois des livres papier, entre ceux que l’on me prête et ceux pour lesquels je craque parce que devant un bel ouvrage, je perds toute volonté… Et finalement ce ménage littéraire à trois me convient parfaitement ! Et vous, quel camp avez-vous choisi ?
Escarpins et Marmelade a écrit
J’ai adoré cet article! Tout comme toi, j’adore l’odeur des vieux livres! C’est mon plaisir quand je suis chez mes parents et je j’emprunte un livre dans la bibliothèque de ma soeur. Je ne lis pas assez pour que l’achat d’une liseuse soit rentable. Je ne lis que quelques livres par an. Mais ma soeur, qui est une grande lectrice, en a une aussi et elle en est contente!
Lucie-Rose a écrit
Moi aussi j’adore fourrer mon nez au sens propre comme au figuré dans la bibliothèque de mes parents. Je leur ai d’ailleurs piqué des vieux dictionnaires en 2 volumes des années 20 et qui appartenaient à mes grands-parents et c’est toujours un plaisir un peu magique de plonger dedans et d’y découvrir la façon dont on voyait le monde à l’époque !
Élodieuniverse a écrit
Bonsoir, ton article est un plaisir à lire. Il est vraiment complet. Félicitations! Je te remercie infiniment pour m’avoir citée dans ta chronique. C’est un plaisir de partager ma passion et savoir qu’on apprécie ce que je fais : ça fait chaud au cœur! Au plaisir de se parler et continuons de partager cette belle passion de la lecture avec des livres ou une liseuse… À bientôt ! Élodie
Lucie-Rose a écrit
Et oui, même si je reste silencieuse, j’adore tes chroniques alors merci à toi pour nous faire découvrir tant de livres et d’auteurs !
Sarah Boots And Pepper a écrit
Merci pour cet article ! Je suis tout comme toi accro aux livres, mais je pense à la liseuse justement pour bouquiner le soir dans la pénombre… Ton article me titille donc encore plus le porte monnaie 😀
Lucie-Rose a écrit
C’est un achat (bon ok c’est mon frère qui me l’a offerte pour noël) que je ne regrette pas. Attention, on en devient vite accro !
Maman Clémentine a écrit
Pas passée du côté Obscur de la Force (peut être par peur d’être séduite, je ne sais pas) ici, et je pense ne jamais le faire (sauf si c’est pour lire ton premier livre en numérique 🙂
Lucie-Rose a écrit
Ah Ah coquine ! j’espère que si un jour il voit le jour, ce sera d’abord en version papier !