Fashion weeks for little boys (# 3)

Qui a dit que salopette ne rimait pas avec élégance ?

Pour ce troisième rendez-vous, voici un petit look printanier « So chic with my salopette ! »

Et pour l’occasion, je vous ai concocté une sélection de 10 salopettes dans le vent pour les bébés gymnastes qui auraient tendance à perdre leur pantalon entre deux pirouettes !

Mais commençons par détailler Lutin : oui, on peut être très chic en salopette… Harmonie des couleurs entre gris et parme, jeux de formes contrastées entre fines rayures de la salopette et petits carreaux de la chemise, sans oublier le fanion parme que l’on retrouve sur la salopette et la chemise.

Chemise et salopette Obaibi légèrement doublée de coton, du 1 au 36 mois.

Collection printemps 2013. Comptez 23 à 25 euros pour une salopette légèrement doublée et 15 à 18 euros pour la chemise à manches longues.

Bien choisir sa taille

Les salopettes de la marque Obaibi taillent plutôt petit comparées à celles d’autres marques comme Sergent Major, Levis ou la Compagnie des Petits, et comparées aux pantalons Obaibi. Et quand la salopette est un poil trop juste en longueur, toutes les pressions de l’entrejambes sautent en cœur…

Obaibi passé au crible de la mode

Les collections Obaibi sont particulièrement irrégulières. Certaines saisons, on dévaliserait le magasin car presque toute la collection est stylée et d’autres saisons, c’est le désert vestimentaire : trop sportswear, trop de couleurs flashy, trop casual, trop banal. Le début de la collection printemps 2014 ne m’avait pas du tout convaincue sur le 1-24 mois mais le début de l’été est prometteur avec ses couleurs bleu turquoise, mauve et kaki. A suivre…

Attention à la coupe des pantalons !

Obaibi s’est mis aux coupes slim (sans pressions à l’entrejambes bien évidemment), y compris sur les pantalons des rayons bébés, d’où parfois de mauvaises surprises quand il faut habiller Lutin, le déshabiller puis le rhabiller, encore et encore. C’est à se demander si les stylistes ont déjà changé des couches dans leur vie… Le slim, voilà donc l’ennemi des parents pressés et des bébés gigoteurs !